Burrrrppp… j’ai une indigestion de banania…
Yes we can… oui ils peuvent, et ils l’ont fait… mais qu’ont ils fait exactement?… et c’est qui “on”… ‘?
Les américains ont voté, pour le meilleur ou pour le pire, c’est un peu tôt pour le dire.
En tous les cas, les américains ont démontré qu’ils avaient dépassé le simplisme communautariste dans lequel les français se plaisent à les imaginer.
En dehors de l’aspect symbolique que cette élection revêt, pour tous, je crois que l’on se trompe sur la signification de cette élection, en tous les cas, elle met par terre toutes les diatribes des contempteurs antiaméricains, racistes, figés… pour les critiques les plus sympas.
Mais oui bon, c’est une élection à haute valeur symbolique, mais pour ma part, pas dans le sens commun, c’est surtout une immense démonstration de la vigueur des américains et des institutions américaines. Je me fous pas mal que banania soit noir, ou bleu, je ne sais pas s’il sera bon ou pas, cela ne dépend pas que de lui d’ailleurs. Et puis je n’ai jamais compris pourquoi pour les idiots, le fait d’être noir ferait de lui quelqu’un de meilleur,
bokassa, mobutu et amin dada étaient noirs me semble t’il, cela n’en a pas fait de meilleurs gouvernants.
Bien loin de moi de comparer banania à ces animaux, bien au contraire, je le trouve plutôt bien sous pas mal d’aspects, il a de la présence, il est brillant, charmeur, sa voix est chaude et virile, assurée, je comprends que l’on puisse se laisser séduire par l’homme, un vrai politique, un tribun assurément.
Maintenant, pour ce qui concerne le programme, je dois dire que je ne suis pas assez… partisan pour dire s’il est bon ou mauvais, je ne pense pas qu’il soit plus mauvais que les autres, je ne crois pas au miracle et ne suis pas ni
libéral ni “socialiste” convaincu, donc, pas d’opinion, si tant est que la différence se fasse dans ce cas sur libéral ou socialiste, que par ailleurs, banania n’est pas, mais comme nous aimons simplifier.
Je pense seulement que sa tâche sera rude, et que sa couleur de peau ne sera ni un avantage ni un inconvénient pour cela.
Pour les points positifs, je crois que banania permet de faire une coupure avec les années Bush,
années détestées à mon sens pour de mauvaises raisons, mais c’est un fait, il fallait donc que la machine se remette en route, et en cela, banania est un symbole suffisamment fort pour que la mayonnaise prenne.
Changera aussi le regard de l’étranger, de façon idiote certes, puisque ce changement est du à des appréciations erronées, tant sur les années bush que sur ce que banania représente pour eux, mais tant mieux après tout si cela les rend moins… hermétiques…
Sur ce que j’ai pu comprendre et voir,
banania est américain, dans la lettre et dans l’esprit, du moins, ces conseillers l’ont drivé dans ce sens, et c’est une bonne chose, à aucun moment il n’a cherché le vote noir communautaire
(de toutes les façons, déjà acquis), il a cherché à se présenter comme un américain, qu’il est.
Toute la démarche de sa campagne a été de séduire le vote “blanc”, supposement raciste, du moins, tel que l’on veut bien nous le raconter ici
(voir mon précédent post), je pense donc qu’il a été excellemment coaché, jouant sur du velours si je puis dire avec la crise économique et un Mc Cain pas vraiment à sa place.
L’amérique a donc décidé, et pris le contre pied de toutes les idées surfaites que l’on nous sert à longueur de temps, et ça, pour moi, c’est bien… Mais comme je n’ai pas pour habitude d’être consensuel, je vais maintenant tenter d’épingler un peu les hystériques racistes qui voient en banania le messie.
Alors soit, beau slogan,
“yes we can”, que tous ces fans reprenaient en choeur, comme dans une grande messe, incantations qui font vibrer les foules
(je dois avouer que je suis assez mauvais public et que ces incantations me rebutent un peu, quelles qu’elles soient), moi, ça me faisait marrer ces mines réjouies, banania qui disait
“yes we can”, et attendait la résonance dans la foule en liesse, c’est un peu pathétique à mon sens, mais apparemment, les gens ont besoin de cette transe pour se convaincre qu’ils sont dans le juste, un peu comme les croyants ont besoin de toute la liturgie pour sentir la présence du divin, c’est surement un mal nécessaire, mais moi… je n’y arrive pas… ma tête se refuse à entrer dans ce genre d’extases… peut être pour avoir abusé de substances illicites dans ma jeunesse, je dois dire que j’aime garder le contrôle sur ce qui m’entoure et même lorsque c’est possible, sur mes émotions, bon bref, on est pas là pour parler de moi…
Donc, beau slogan, façon méthode coué, ça a bien fonctionner, même si comme tous les slogans, on ne sait pas trop ce qu’ils peuvent faire, mais soit.
Une petite anecdote, quand je l’ai entendu dire que son père était
noir comme le charbon, et sa mère
blanche comme le lait… et rien d’autre, moi, je me suis dit qu’il pourrait ajouter, et moi,
je suis marron comme la m… non!!!! Comme le chocolat… oh merde, si on ne peut plus rigoler maintenant… mais je me suis dit que c’était raciste de penser comme ça, même si je me suis marré tout seul… alors shhhhhtttt… ne le dites pas…
Alors, la campagne de banania a couté 700 millions de $… 7 fois plus que celle de Mc Cain, cela commence assez mal pour le présenter comme le petit père des pauvres, me semble t’il, même si cet argent était privé, je crois qu’il eut été mieux employé ailleurs, mais c’est un avis que l’on est pas obligé de partager, alors oui, belle campagne, bien menée, les moyens y étaient en tous les cas, la vigilance aussi d’ailleurs, puisque sa femme fut sortie pendant une bonne partie de la campagne après quelques interventions genre
“black power” (bon, j’exagère, mais disons, pro-black community), je dis donc qu’elle fut sortie car elle gachait un peu le tableau, les élections devant se jouer sur les électeurs blancs, ce qu’elle risquait de faire, c’était de braquer l’électorat blanc, et ça, cela aurait été irréparable.
Donc la maintenant première dame fut recadrée et n’intervint que dans la seconde partie, pour se montrer en épouse, mais surtout, parler de son banania de mari, en faire un être plus accessible, moins guindé, donc, bonne pioche là encore.
Quoi?
Mais oui, vous ne saviez pas que Obama avait été élu par des blancs?
Ah bon?
Alors voilà les chiffres (j’ai tout arrondi et pris les chiffres optimums)
121 millions de votants
64 millions ont voté obama
la population noire représente 13% du total, soient 16 millions
si je fais la différence, sachant que 95% des noirs ont voté pour banania (j’arrondis à 100%), cela donne:
64 – 16 = 48
oui, 48 millions de blancs ont voté pour banania, soit 87% de blancs (et autres communautés, bon, j’allais pas faire le détail non plus)On comprend peut être mieux pourquoi le discours de banania n’a pas été communautariste, l’électorat est blanc, et il faut le séduire (ce qui est bien normal d’ailleurs), donc, sa campagne a fait mouche, et je trouve très honorable que la communauté “non noire” puisse voter pour un noir, d’ailleurs, les noirs, avant, ne votaient que pour des blancs, puisque c’est la première fois qu’un noir se présente, non?
Et puis, je ne sais pas pour vous, mais que presque personne ne relève que si
95% des noirs votent pour un noir parce qu’il est noir… moi… ça me gêne aux entournures… de même que ceux qui votent obama parce qu’il est noir… ce qui serait une qualité, mais bon, j’en ai déjà parlé précédemment… et puis, on ne va pas refaire les élections.
Par contre, là où je rigole, c’est les réactions débiles qui suivent, du moins, les commentaires des journalistes, qui ne semblent pas vraiment au courant des réalités.
Dès le lendemain matin, j’entends sur france 2 que enfin,
50 ans après avoir donné le droit de vote aux noirs, un noir est élu à la présidence des Etats Unis, je ne sais pas pour vous, mais je crois que ce monsieur est encore une fois à còté de la plaque.
En effet, les noirs ont eu le droit de vote dès 1870 (voting rights act de 1870), avant les femmes et les indiens par exemple, mais dans un certain nombre d’état, ce droit était bafoué et soumis à un certain nombre de conditions (ben oui, c’est un pays fédéral, chaque état fait un peu ce qu’il veut), donc, le droit de vote des noirs a longtemps été restreint, mais il existait, et les noirs, depuis plus de 150 ans, ont largement pu participer à la vie économique, politique et sociale de leur pays.
Alors je pense que ce monsieur, prétendu journaliste, parle de la lutte pour les droits civiques, qui était circonscrite à quelques états, et donc également à la ségrégation, qui n’était en place que dans certains états… encore une fois, de ces cas, dont je ne nie pas la réalité, c’étaient des cas circonscrits à quelques états, mais pour le reste du pays, les choses étaient bien différentes, alors que le message que semble transmettre ces journalistes est que c’est l’ensemble des USA qui étaient concerné.
C’est à mon sens la première erreur, mais elle est de taille dans la désinformation, et je trouve que c’est grave, d’une part parce que c’est un fait communément intégré, et que cette erreur est le fait des donneurs de leçons français notamment, q
ui se gaussent de leur culture et de la bêtise des américains (sauf des noirs, bien entendu). Cette sottise est la pierre angulaire de leurs prétendues analyses, et comme il s’agit d’une erreur, et bien toute leurs analyses à la con sont bidons. Bien loin de moi l’idée saugrenue de prétendre qu’il n’existe pas de problèmes, pas de racisme(s) (oui, au pluriel, parce que je ne crois pas que le racisme soit à sens unique), mais la situation n’est pas vraiment celle que l’on veut nous décrire, d’ailleurs, l’élection de banania est assez significative à ce sujet, les racistes (blancs, je précise), si c’était la norme, n’auraient pas voté banania quoi qu’il arrive, c’est donc qu’il ne doivent pas être si nombreux d’une part, et d’autre part, que les américains sont donc suffisamment évolués pour faire des choix non stéréotypés et simplistes.
Il y a trop de commentaires pour que je puisse en faire la liste, mais malgré tout, de mémoire, je vais vous faire part de ce que j’ai retenu:
Un jeune (blanc), pleure de joie, se dit enfin heureux… il dit que, enfin,
l’amérique va retrouver sa côte de popularité et que c’est la fin du terrorisme, bref, que tout va être beaucoup mieux maintenant, le mal va enfin disparaitre… puisque pour lui, très certainement, le mal, c’était Bush… inversement assez ordinaire des éléments constitutifs de la réalité, comme dans la schizophrénie… mais il n’est pas le seul dans ce cas, en mettant le terrorisme comme une réponse à la politique de Bush, alors que malheureusement, la politique de Bush ne fut que la conséquence de celle ci… et que je sache, mis à part le 11S, les américains n’ont plus eut à pâtir de ces faiseurs de diversité enrichissante… grâce à qui? Ou à quoi?… je vous laisse trouver la réponse…
Dans la même veine, un journaliste, sur europe 1, qui dit que
Bush a gaspillé le capital sympathie d’après 11S… Pardon?
De quel capital sympathie parle t’il?Des manifestations de joie dans les pays arabes? Dans nos banlieues? Des éditoriaux au vitriol sur les “racines du mal” (avant l’irak)?… moi, je n’ai rien vu de tel, tant sur le plan médiatique que personnel… Les médias sont restés un moment abasourdis, un peu de fausse compassion, mais ont immédiatement repris le chemin de l’antiaméricanisme primaire, sur l’impérialisme, le duo pauvreté-richesse, etc… et tout cela même avant l’intervention en afghanistan, donc, par conséquence, avant l’irak, allez y, jetez un coup d’oeil aux journaux, faites un effort de mémoire, vous verrez bien que la fameux
“capital sympathie”, n’était rien, rien d’autre que de l’incompréhension sur l’énormité de la chose, mais bien vite, les vieux réflexes ont refait surface, et ce qui est étonnant, c’est qu’alors, Bush, n’avait strictement rien à voire avec cela puisque très récemment arrivé, et je dis et je répète, avant afghanistan et irak…
j’insiste lourdement, parce que pas mal de crétins inversent encore les dates et l’enchainement des événements. Ça, c’est pour la partie, médias, quant à la partie personnelle… je dois dire que personne ici que je connaisse, n’a manifesté la moindre sympathie, mais dès le lendemain, j’ai entendu parler du génocide des indiens, de pinochet (coup d’état du 11septembre également), pas une marque de sympathie, si ce n’est un peu d’appréhension, car el
“pais”, titrait:
“el mundo en vilo a la espera de las represalias de Bush”
“le monde en veille en attente des représailles de Bush”
Je ne vois personnellement aucune sympathie dans le titre de ce journal… un peu de peur, mais déjà, moins de 24 heures après les attentats, déjà… ce qui fut le fil rouge de ces 7 années…
Donc, rien de bien gentil, contrairement à ce que dit ce jeune idiot blanc, et ce journaliste idiot…
La seule intervention intéressante à mon gout, fut celle d’un noir américains, la scène est la suivante, on le voit faire de la break dance, et alors là, je me dis… merde… l’amérique, ça va être ça maintenant?
Mais non, pas du tout, ils ont la bonne idée de lui donner la parole, et là, enfin, j’entends quelque chose de sensé…
“oui, c’est bien les allocations, les aides et les subventions de l’état, mais maintenant, il va falloir que les noirs changent d’attitude (là, j’ai eu un peu peur je dois dire), il va falloir que les noirs changent leur mentalité d’assistés, il va falloir qu’ils se prennent en main”… alors là, oui, chapeau… si un blanc avait dit ça, je suppose qu’il aurait été lapidé sur le champ, mais il était noir, et je me suis dit alors que tout n’était pas perdu, que si des noirs pouvaient dire ce genre de chose, c’est qu’il y avait de la place pour dire et faire des choses différentes que celles que l’on entend ici…
Des interventions de ce type, je n’en ai pas vu d’autres, depuis maintenant 2 semaines que le monde va “mieux”, cela n’a été qu’une longue litanie de mines réjouis, de pleurs simulés, de joie béate sur l’immense bonheur qui a rempli les coeurs de nos bananiaolatres.
Les erreurs sur le vote des noirs s’est répété à de nombreuses reprises, erreurs reprises par tous les “intellectuels” , rien de très original, c’est d’ailleurs toujours comme cela… et puis, en revers, un tas d’émissions pour faire un parallèle avec la France, toujours les mêmes, le
CRAN, la député socialiste, le SOPO, et autres représentants des minorités “visibles” qui demandent un traitement à l’améraine
(les même qui il y a quelques mois étaient intarissables sur le communautarisme et le racisme à l’américaine), toutes ces mines réjouies qui réclament donc
“plus de diversité” dans la représentation politique française, et rêvent déjà d’un issu de la diversité aux plus hautes fonctions de l’état,
comme si c’était une fin en soit. La comparaison avec les USA est bien entendue fallacieuse, les USA étant une pays “composé”, relativement récent et contrairement aux idées reçues, très ouvert et innovateur, ce qui cadre mal avec les innombrables reportages que l’on a vu sur l’amérique profonde, gros con blanc élevé à la bière, aux hamburgers et le colt près du coeur enveloppé dans la banière étoilée
(ce n’est pas ce que je pense, c’est l’image véhiculée par nos médias et communément intégrée par moult personnes). Et donc, en frankistan, on reparle de discrimination, et c’est reparti pour un tour avec les habituelles pleureuses, le monsieur du CRAN nous rappelant les entrées en boite, grande marotte des testings, comme si cela était de la plus haute importance, moi, très sincèrement, de discrimination, je n’en voit point, mais il s’agit d’un bon gros mensonge communément acquis, répété comme une évidence, sur la base de chiffres dont très sincèrement, je conteste la véracité.
Mais nous sommes toujours dans un discours trompeur, où les mots ne veulent plus dire grand chose et où l’on prend comme règle le résultat de situation dont on ne distingue pas les causes, ou tout au moins, dont on tord totalement les fondements.
Un petit exemple pour illustrer mes propos:
Tout le monde sait que environ 40% de la population carcérale aux USA est noire, alors que les hommes noirs ne représentent que 7% de la population.
Selon les crétins, il est évident que s’il y a autant de noirs en prisons,
c’est que c’est forcément du au racisme. Jusque là, nous sommes d’accord non? Ne me dites pas que vous n’avez jamais entendu ce discours.
Mon opinion, c’est que s’ils y sont, c’est qu’ils ont fait quelque chose de répréhensible, mais vous n’êtes pas obligés de partager mon avis, même si je pense que cette sur-repésentation n’est pas forcément raciale, mais simplement culturelle et/ou sociale
(sociocul comme diraient certains, enfin bon, 40000 viols de femmes blanches par des noirs, contre quelques centaines sur des femmes noires par des blncs… c’est un chiffre assez parlant à mon sens me semble t’il, surtout rapporté aux % ethniques aux USA),
bon, ne nous éloignons pas.
Donc, l’explication de cette proportion de noirs dans les geoles américaines semble être une
“évidente manifestation du racisme” pour un grand nombre de… crétins…
Vous me suivez toujours?
Bon, maintenant, faisons un constat. Le nombre de femmes incarcérées est d’environ 10% (à la louche), du nombre total de personnes incarcérées, donc, 90% des taulards sont des hommes, alors que les hommes ne représentent même pas la moitié de la population totale.
Si j’applique la règle communément reconnue pour la sur-représentation des noirs en prison, je devrais en déduire qu’il est scandaleux et discriminatoire,
comment pourrais je dire “homophobe” ,"machophobe"? de voir tant d’hommes en prison, non?Pourtant, les femmes sont plus nombreuses, elles sont assez largement discriminées, en situation de précarité, enfin bref, elles sont défavorisées le plus souvent, c’est aussi un fait communément acquis non?Si j’en crois les sociologues et autres trouductologues, en raison de ces éléments,
les femmes devraient être plus délinquantes que les hommes, puisque c’est l’excuse qui nous est servie pour le noirs, vous me suivez toujours?Hé bien malgré tous ces handicaps, les femmes ne repésentent que 10% des incarcérés… étonnant non?
Donc, la justice favorise honteusement les femmes au dépend des hommes. CQFD
C'est absurde? Euuuhhh oui… bien sur, parce que le postulat de départ sur la discrimination et le social est bidon… donc, je me rends compte que ce postulat ne vaut rien, puisqu’elle ne s’applique pas à une autre composante de la société, en ce cas, les femmes. Donc, pour ce qui me concerne, les femmes sont moins criminogènes que les hommes, un point c’est tout.
Cela tient à de nombreuses choses, mais c’est comme cela. Cela ne vous parait il pas évident?
Et si les noirs aux USA, les muzz (70 à 80%) ici sont scandaleusement sur-repésentés dans les prisons, il faut en chercher les raisons ailleurs que dans le racisme ou la discrimination.
Avez vous bien suivi ma démonstration par l’absurde?
Bien entendu, tenir ce genre de discours fera de moi un vilain raciste, pourtant… je ne le suis pas… mais bon… mon propos n’était pas là, sinon de montrer que à force de tordre la réalité, on en arrive à vivre dans un monde orwellien où une chose vaut son contraire et vice et versa.
Voic un petit discours très… représentatif de ce que je dis:
constatons le “génocide par remplacement”
Puis, regardons nos faiseurs de diversité…
morsay
revenons sur terre quant aux idéaux bananiesques…
Un peu de réeducation.
Tolérance, quand tu nous tiens….
racistes?
Bien, j’ai encore été trop long, désolé…
Ceci dit, bonne chance à banania, souhaitons qu’il réussisse, moi en tous les cas, je lui souhaite.